Billevesées:

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mot emprunté au père moustachu de Wendy, fiancée de Peter Pan et femme-enfant-maman. Mon avatar, en quelque sorte. Mes billevesées sont les manifestes d'une femme-enfant-maman du 21ème siècle.

jeudi 16 juillet 2009

"Jump out, jump in, jump out of your skin"

Il y a de cela seize mois je commençais un premier blog sur ma vie à Berlin. Je me rappelle du thé noir que mon nouveau coloc Jakob m'avait servi ce soir-là, de la lampe Ikéa qui constituait presque le seul meuble de ma nouvelle chambre, du long voyage en train pour arriver et de l'odeur des restes du dîner, que je n'avais pas osé demander.

A Berlin j'ai fait l'apprentissage de la vie dans des pièces blanches, et du vide. Je me suis mise à aimer la nuit, le goudron, l'odeur du goudron des sous-sols d'Alexanderplatz, la pluie, les grands musées, les grues.

Ma rue préférée: la Dorotheenstr.


Marion vient de quitter Berlin, Alicia avec elle. Tristesse. Soupir. Smiley malheureux.

La dernière fois que je suis allée à Berlin, Jean-Pierre Daroussin présentait "Les Grandes personnes" dans un petit cinéma de Charlottenburg; des portraits croisés de quatre adultes et d'une adolescente, sur une île du sud de la Suède.

Tiens, la Suède. La Suède c'est super 2009, tiens. Menace de fermeture du centre culturel suédois Rue Payenne, Saison franco-suédoise du rock, sacralisation de Spotify, France Inter adore Peter von Poehl et Loney, Dear.
Sans oublier mon mémoire: "l'appropriation du rock dans la société suédoise et dans la société française". Et ce style pêcheur de harengs suédois post-pubère qui fait un "malheur".

Iaj Alskar Dej Svenska.

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